Soyons honnêtes, trêve de faux suspense, non, l’ONU a et aura toujours besoin d’interprètes de conférence, de traducteurs, de terminologues. Par ailleurs, les grandes marques dépendent encore des traducteurs à l’oral comme à l’écrit, en simultané, en consécutif, en différé. Et ce, pour leurs rapports annuels, leurs présentations, leurs conventions internationales. Tout du moins pour les cinq ans à venir. Alors pourquoi un tel engouement, pourquoi un tel buzz autour de Skype Translator, de l’oreillette développée par Waverly Labs ?